Avez-vous déjà remarqué cette personne qui semble toujours tomber sur des opportunités incroyables ?
- Elle trouve la place de parking parfaite.
- Elle rencontre la bonne personne au bon moment.
- Elle décroche le job de ses rêves sans même avoir l’air de forcer.
Pendant que vous vous battez pour avancer, elle semble glisser dans la vie avec une facilité déroutante.
De là naît une question brûlante :
👉 Est-ce vraiment de la chance… ou autre chose ?
La vérité, c’est que ce que nous appelons « chance » n’est pas ce que nous croyons.
Derrière ces vies qui semblent bénies se cachent en réalité :
- des habitudes,
- des manières de penser,
- & des comportements très concrets.
Dans cet article, nous allons révéler :
- pourquoi la chance, telle qu’on la conçoit, n’existe pas vraiment,
- comment certains créent activement leurs propres opportunités,
- & comment vous pouvez, vous aussi, devenir un véritable aimant à opportunités.
1. La première révélation : la chance (telle qu’on l’imagine)… n’existe pas
Voici un paradoxe fascinant :
Les personnes que vous trouvez « chanceuses » ont souvent un point commun…
👉 Elles ne croient pas à la chance.
Pas au sens « hasard magique » qui tombe du ciel en tout cas.
Elles voient les choses autrement
Plutôt que de dire :
« J’ai eu de la chance. »
Elles se disent plutôt :
« J’ai bien fait de… »
« Heureusement que je suis sorti(e)… »
« J’ai eu ce résultat parce que j’étais là & prêt(e). »
Elles reconnaissent que derrière chaque « coup de chance », il y a :
- une décision prise,
- une action posée,
- une préparation ou une présence au bon endroit.
Par exemple :
- Vous pensez : « Quelle chance, il a rencontré un investisseur à cette soirée. »
- Eux pensent : « Heureusement que j’ai accepté cette invitation & que j’ai osé parler aux gens. »
Ce changement de perception crée un effet boule de neige :
Puisqu’ils pensent que leurs actions peuvent créer des résultats, ils agissent plus souvent.
Et plus on agit, plus on crée de « coïncidences heureuses ».
2. L’art de créer ses propres opportunités
Les « chanceux » n’attendent pas que la vie leur fasse un cadeau.
Ils fabriquent des situations dans lesquelles des opportunités peuvent apparaître.
a) Ils maîtrisent l’art du contact humain
Les personnes qui semblent toujours tomber sur « la bonne personne au bon moment » font souvent ceci :
- Elles engagent la conversation.
- Elles posent des questions.
- Elles s’intéressent sincèrement aux autres.
- Elles vont vers les gens au lieu d’attendre qu’on vienne à elles.
Là où certains restent collés à leur téléphone ou à un coin de mur dans une soirée, elles :
- circulent,
- sourient,
- écoutent,
- créent des connexions.
Ce réseau vivant devient un terrain fertile à opportunités :
Recommandations, collaborations, informations privilégiées, partenariats…
b) Elles disent plus souvent « pourquoi pas » que « non »
Autre truc : les « chanceux » ont tendance à dire oui plus souvent à la nouveauté.
- Invitation imprévue ?
- Projet qui sort de leur zone de confort ?
- Activité inhabituelle ?
Leur réflexe est exploratoire, pas défensif.
Elles se disent :
« Et si ça ouvrait une porte ? »
Cette attitude les place régulièrement dans des contextes où peuvent surgir :
- des rencontres déterminantes,
- des idées nouvelles,
- des projets inattendus.
3. Le pouvoir de l’optimisme intelligent
Les « chanceux » ne sont pas naïfs.
Ils ne vivent pas au pays des licornes.
Ils pratiquent ce qu’on peut appeler un optimisme intelligent.
Ils voient ce que les autres ne voient pas
Face à un problème, beaucoup se disent :
« C’est foutu. »
Eux se demandent :
« Qu’est-ce que je peux faire avec ça ? »
« Où est l’opportunité cachée ? »
« Qu’est-ce que cette situation m’oblige à apprendre ? »
Résultat :
Là où certains ne voient qu’un mur, eux voient :
- une porte cachée,
- un détour possible,
- ou un nouveau chemin à créer.
Exemple :
- Licenciement : catastrophe pour certains,
- pour d’autres : occasion rêvée de se reconvertir, se lancer à leur compte, changer de ville…
Leur énergie attire les opportunités (et les gens)
On préfère tous travailler & collaborer avec quelqu’un qui :
- donne envie,
- inspire confiance,
- garde espoir même dans la difficulté.
Cet optimisme intelligent :
- donne envie de les recommander,
- fait qu’on pense à eux quand une opportunité surgit,
- ouvre naturellement plus de portes.
Ce n’est pas magique :
Plus vous êtes perçu comme positif, fiable & constructif, plus les opportunités viendront naturellement à vous.
4. La préparation cachée derrière la « chance »
Derrière chaque « coup de chance », il y a souvent des années de préparation invisible.
Les « chanceux » appliquent sans forcément le dire cette règle :
« La chance sourit aux esprits préparés. »
Ils investissent en eux AVANT que l’opportunité arrive
Ils font des choses que beaucoup repoussent :
- ils lisent,
- se forment,
- améliorent leurs compétences,
- apprennent de nouvelles choses,
- même quand ça ne rapporte pas immédiatement.
Résultat :
- Le jour où une opportunité tombe (poste à pourvoir, projet, collaboration…),
- ils sont déjà prêts.
Là où d’autres disent :
« Si seulement j’avais appris ça avant… »
Eux se disent :
« Parfait, c’est exactement ce pour quoi je me préparais. »
Ils ont une « veille opportunités » permanente
Les personnes perçues comme chanceuses :
- restent informées de ce qui se passe autour d’elles,
- suivent les tendances de leur domaine,
- observent les changements,
- repèrent les besoins non satisfaits.
Elles ne sont pas juste spectatrices du monde :
elles le scrutent activement.
Ce qui leur permet :
- d’agir avant les autres,
- d’être dans les premiers à se positionner,
- d’être au bon endroit au bon moment… parce qu’elles y sont allées volontairement.
5. Comment transformer VOTRE relation à la chance
La vraie question, maintenant, c’est :
👉 Comment devenir vous-même ce genre de personne « chanceuse » ?
Bonne nouvelle : ce n’est ni génétique, ni réservé à une élite.
C’est un ensemble d’habitudes & de réflexes que vous pouvez cultiver.
a) Changez votre discours intérieur
Au lieu de dire :
- « Je n’ai jamais de chance. »
- « Lui, il a tout, moi rien. »
Commencez à vous demander :
- « Quelles décisions m’ont amené là où je suis ? »
- « Quelles actions pourrais-je poser pour créer plus d’occasions ? »
- « Quels endroits, quelles personnes, quels contextes augmenteraient mes chances de rencontres positives ? »
Vous passez du rôle de victime au rôle d’acteur.
b) Notez les opportunités qui existent déjà
Pendant une semaine, chaque soir :
- notez toutes les petites opportunités de la journée :
- quelqu’un vous a proposé un café,
- vous avez vu une annonce,
- une idée vous est venue,
- une invitation vous a été faite…
Puis demandez-vous :
👉 « Est-ce que j’ai dit oui ? Est-ce que j’ai saisi cette occasion ? »
Vous réaliserez souvent que ce n’est pas qu’il n’y a pas d’opportunités,
mais que vous en laissez passer beaucoup.
c) Misez sur le réseau & l’authenticité
Commencez à :
- parler davantage aux gens,
- poser des questions,
- vous intéresser sincèrement à leur histoire,
- participer à des événements, rencontres, groupes, forums.
Plus votre réseau est vivant, plus il y a de circulation d’informations & d’opportunités autour de vous.
d) Investissez en vous, comme les « chanceux »
Même avec peu de moyens, vous pouvez :
- lire des livres,
- suivre des contenus de qualité,
- apprendre en ligne,
- développer une nouvelle compétence,
- progresser un peu chaque semaine.
Ce que vous faites aujourd’hui, même si vous n’en voyez pas encore l’utilité,
peut devenir votre « coup de chance » dans 6 mois, 1 an, 3 ans.
Conclusion : la vraie nature de la chance
Les personnes qui « ont toujours de la chance » ne vivent pas dans un univers parallèle.
Elles ont simplement :
- un état d’esprit différent,
- des réflexes différents,
- & des actions différentes.
Elles :
- se mettent plus souvent dans des contextes favorables,
- osent plus,
- sont prêtes quand une opportunité arrive,
- voient les possibilités là où d’autres ne voient que des problèmes.
En résumé :
💡 La chance n’est pas un cadeau du destin.
C’est la conséquence cumulée de votre façon de penser, de vos décisions & de vos actions.
La vraie question n’est donc plus :
« Pourquoi certains ont-ils toujours de la chance ? »
Mais plutôt :
« Suis-je prêt(e), moi aussi, à penser & agir comme une personne chanceuse ? »
