Pour gagner un procès, il ne suffit pas de connaître le droit, ou d’avoir un bon avocat. La pratique du droit est exigeante et nécessite de donner le meilleur de soi, pour lequel il va falloir avoir certaines ressources et aptitudes, mais au-delà de la loi, il y a aussi l’inexplicable : la spiritualité. Voulez-vous gagner un procès ? Voici quelques astuces pour mettre toutes les chances de votre côté.
Contactez Marabout Paris, le spécialiste des problèmes judiciaires
Comme mentionné ci-dessous, vous ne pouvez pas faire uniquement confiance à votre avocat ou à vos cours de droit pour gagner un procès. La meilleure manière d’être sûr de gagner un procès est de consulter un marabout spécialiste. Et voici pourquoi.
La nature n’est pas que le réel, il existe aussi l’irréel, des choses qu’on ne peut expliquer. En consultant un Marabout, vous forcez la nature à être de votre côté pour remporter un procès. Et cela marche, puisque vous n’êtes pas un cas isolé. À titre d’exemple, plusieurs personnes ont obtenues gain de cause pour différents types de procès (divorce, partage de biens, vol, viol, meurtre, etc.) en contact Marabout Paris.
Comme vous pouvez le deviner, la seule action à mener pour remporter un procès en toute sérénité est de contacter Marabout Paris. Lui seul, et personne d’autre ne pourra influencer le cours de votre procès, quel qu’en soit sa complexité.
Faites preuve de ténacité
Il ne suffit pas de relire le dossier, ou de se souvenir d’un cas similaire pour gagner un procès. Il faut étudier la question et entrer « en transe ».
L’avocat doit scruter le dossier administratif, à la recherche de traces, d’incohérences, de problèmes d’actes propres, d’un fonctionnaire qui outrepasse, d’une notification défectueuse, d’une attestation sans signature, etc. Un regard serein sur le dossier permettra éventuellement récolter les as du triomphe.
Parfois, pour attraper quelques poissons, il faut passer de nombreuses heures dans la rivière. Donc, à tout moment, l’avocat doit être profondément impliqué dans votre cas et combattre même la plus petite chose avec la même vigueur et la même insistance que pour les grandes choses.
Ayez plusieurs plans
En cas de déboires judiciaires, vous devez avoir un plan B, et C, et D.. Sans perdre le regard réaliste, face à une condamnation ou une ordonnance défavorable, la possibilité d’un recours, la cassation, doit être envisagée depuis le début, la nullité des actions, la Cour constitutionnelle, et même la Cour européenne des droits de l’homme, etc.
Et si la sentence favorable à l’individu échoue dans le jugement, il faudra tenter de l’imposer dans l’incident d’exécution, de la même manière que si elle est défavorable à l’Administration, elle tentera l’inexécution.
Soyez éloquent
Même pour s’adresser à Dieu, Jésus recommandait le simple Notre Père. À plus forte raison, une lettre adressée à un juge peut être simple et efficace, si elle intègre une bonne argumentation, qui palliera aussi le manque de jurisprudence ou de réglementation favorable.
Il faut présumer que le juge est débordé par le temps, donc être didactique et avec un langage accessible, sous une argumentation impeccable et divertissante, pourra éventuellement capter l’attention et la compréhension du juge.
Le juge doit toujours remarquer votre conviction particulière d’avoir gain de cause et votre confiance dans la justice. Cela prouve que ce n’est pas par caprice personnel ou pour créer du mécontentement chez qui que ce soit. La chose la plus fondamentale pour l’avocat est de faire comprendre l’affaire de son client; et ce, sans cruauté dans les mots. Il doit être réaliste à tout moment et ne pas tourner autour du pot.
Effectuez des recherches sur vos adversaires
L’avocat doit connaître le juge et l’autre partie. Les juges ont généralement un profil psychologique (pro-administration ou pro-citoyen ; réticent ou enclin aux injonctions ; généreux ou rigide dans l’admission des preuves, etc.).
Il faut aussi exploiter les faiblesses de l’adversaire : il y a des avocats agressifs et bienveillants ; des avocats rigoureux et frivoles ; avocats de fond et de forme, etc. Et la meilleure façon de connaître la « faune médico-légale » est d’échanger des impressions et des anecdotes avec des collègues. Les portraits psychologiques aident toujours.
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Soyez concis
Les écrits de procédure doivent être propres, ordonnés et clairs. Sections et épigraphes indiquant. Les écrits qui oublient les règles d’orthographe et de syntaxe (qui existent) ne sont pas bien reçus. Ni ceux qui oublient les points, ni ceux qui économisent du papier (et des idées).
Vous devez utiliser un « néon d’idées » que sont les lettres en gras et en italique, ou le soulignement, mais oui, si tout ressort comme important, rien ne l’est. S’il s’agit d’une audience orale, pas de verbiage ni d’intrigues difficiles à suivre ; et si une trace écrite de la présentation orale est fournie, tant mieux (si le juge l’accepte, ça profite, et s’il la refuse, rien ne nuit).
N’oubliez pas d’être toujours précis
Si vous voulez gagner, vous devez convaincre le juge. Une rédaction procédurale claire et ordonnée a beaucoup à gagner. L’avocat ne doit pas errer ni se réfugier dans la citation de « jurisprudence notoire » sans le préciser. Dans le domaine contentieux-administratif, il est indispensable de diffuser les faits, et les motifs pour aboutir à un « je supplie, très clairement ».
La preuve doit être « apostillée », bien que la norme procédurale ne l’impose pas puisqu’elle ne l’interdit pas non plus, et donc, si un groupe de témoins est proposé, il vaut la peine d’expliquer au minimum la position ou qui est ce témoin, pour faciliter son admission. Les conclusions ne doivent jamais être la répétition « couper-coller » de la demande et de la réponse. C’est une occasion en or de résumer et de focaliser le différend, et de montrer qu’il ne s’agit pas d’une affaire de routine.
L’avocat qui dresse un procès glorieux et impeccable et qui « s’endort » dans le procès des preuves ou dans le mémoire des conclusions, ferait bien de garder à l’esprit la fable de la tortue et du lièvre. C’est à dire qu’il ne remportera jamais ce procès.
